Notice: WP_Scripts::localize est appelée de la mauvaise manière. Le paramètre $l10n doit être un tableau. Pour transmettre des données arbitraires aux scripts, utilisez plutôt la fonction wp_add_inline_script(). Veuillez lire Débogage dans WordPress (en) pour plus d’informations. (Ce message a été ajouté à la version 5.7.0.) in /home/thebackp/www/special/rewind/2010/wp-includes/functions.php on line 5315

2010

2011

2012

2013

2014

2015

2016

2017

2018

2019

10

09

08

07

06

05

04

03

02

01

Patience...

On rembobine

C’est parti !

les meilleurs albums rap de

2019

17/05/2019

31/05/2019

28/06/2019

Tyler, The Creator

IGOR


Deprecated: wp_make_content_images_responsive est obsolète depuis la version 5.5.0 ! Utilisez wp_filter_content_tags() à la place. in /home/thebackp/www/special/rewind/2010/wp-includes/functions.php on line 4863

Avec Flower Boy, Tyler nous montrait qu’il avait mûri, sa musique s’est considérablement étoffée tout en gardant son identité. Avec IGOR, c’est la consécration. C’est à travers le prisme de son alter ego Igor que Tyler expie ses travers sentimentaux. C’est un album qui achemine vers l’exaltation, un puzzle musicale dont les pièces sont indissociables et en parfaite symbiose. La transition entre chaque morceau semble être d’une logique telle que l’album s’apparente comme un seul titre aux ambiances variées, les interludes jouant un rôle clé dans cette sensation de morceau unique. Si les featurings n’apparaissent pas clairement mentionnés, ce n’est pas un hasard. En pur chef d’orchestre, Tyler dicte aux plus grands noms du milieu, de Kanye West à Lil Uzi Vert en passant par Solange ou Slowthai, la partition qu’ils doivent interpréter, en tenant de compte de leur qualités intrinsèques. C’est un projet qui dépasse la simple création d’un artiste, c’est un tout d’une cohérence et d’une excellence artistique rare, un album intemporel et inclassable dans une autre catégorie que celle de Tyler, IGOR faisant office d’acmé de son art.

Par Théo Hauquin

Album suivant

ZUU

clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique cliqueclique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique

Denzel Curry

ZUU


Deprecated: wp_make_content_images_responsive est obsolète depuis la version 5.5.0 ! Utilisez wp_filter_content_tags() à la place. in /home/thebackp/www/special/rewind/2010/wp-includes/functions.php on line 4863

Hommage énergique et appuyé à Carol City et aux vices de Miami, cet album de Denzel Curry assied la réputation du rappeur qui a braqué le jeu avec sa voix saturée et sa trap brutale et sans concession. Après le parcours classique des mixtapes et des premiers featurings de plus en plus prestigieux, Denzel entre en studio, brûle le micro et signe un opus dont la portée musicale est encore difficile à définir. On sait juste que certains le comparent à la version floridienne (c’est en tout cas l’ambition de son auteur) de The Chronic. Un objectif ambitieux et presque présomptueux, mais ce genre de déclaration est dans l’ADN du rap. Et, il faut bien le reconnaître, ZUU en prend le chemin. Reste à voir si les années lui accorderont autant de crédit qu’espéré.

Par Clément Nadjo

Album suivant

Bandana

clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique cliqueclique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique clique

Madlib & Freddie Gibbs

Bandana


Deprecated: wp_make_content_images_responsive est obsolète depuis la version 5.5.0 ! Utilisez wp_filter_content_tags() à la place. in /home/thebackp/www/special/rewind/2010/wp-includes/functions.php on line 4863

Album qui a confirmé la légende de deux artistes qui ont assommé le game avec une première collab également devenue légende (Piñata). Bandana, ce sont les retrouvailles entre Madlib, beatmaker surdoué et dont la passion pour la musique et ses machines lui ont presque donné la réputation d’un stoïcien du son, et Freddie Gibbs, le MC originaire de l’Indiana capable de poser son flow sur n’importe quel beat aussi facilement qu’il dégainait un flingue pour assurer son deal. Avec des productions aussi hétéroclites et parfois même inattendues, les deux compères s’entendent à proposer un album d’une technicité rare dans le game. Autant dans les productions que dans la maîtrise du flow donc. Bandana, c’est le successeur de Piñata, mais c’est également son complément et le second volet de son testament : la signature de deux grands. Un opus récent et pourtant déjà tellement important par sa maîtrise technique. Une pépite.

Par Clément Nadjo

Découvrir l’album