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Joey Bada$$

B4.DA.$$


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Lorsqu’il choisit de lier son destin au rap, Joey Bada$$ est l’un des derniers, à un tel niveau de popularité, à pleinement assumer une filiation directe avec la génération des rappeurs qui ont donné au rap new-yorkais ses lettres de noblesse, 20 ans plus tôt. Lorsque B4.DA.$$ sort des presses de Noiseland Industries, le boom bap est déjà en déshérence, et les efforts de Joey ne suffiront pas à inverser la tendance. Qu’importe. Avec « Hazeus View » ou « Paper Trails », le champion de l’équipe Pro Era lui offre un enterrement de première classe.

Par Edouard Pays

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Tetsuo & Youth

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Lupe Fiasco

Tetsuo & Youth


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La pochette et le titre peuvent laisser perplexe, à l’image d’une carrière oscillant entre les promesses, les coups de génie et les embrouilles répétées avec les maisons de disque. C’est que Lupe Fiasco ne fait rien comme les autres. Une pochette, donc, peinte de sa propre main. Comme le seraient ses couplets, plus portés sur les rebonds d’idées, les images littéraires que sur la pure signification des mots, ne condamnant pourtant jamais la portée sociale de son rap. Accompagné de producteurs expérimentaux comme DJ Dahi, le rappeur de Chicago retrouve les moyens de son ambition : se frotter à une certaine métaphysique du rap, à une densité des mots et des flows, se faisant croiser influences culturelles exotiques et crue réalité du hood, toujours dans une volonté d’émancipation des siens. « Pizza man don’t come here no more. Deliver, deliver, deliver ».

Par Benjamin Boyer

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If You're Reading This It's Too Late

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Drake

If You're Reading This It's Too Late


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Les œuvres supposées mineures peuvent porter en elles les germes d’un bouleversement. En février 2015, Toronto va devenir l’épicentre d’un bouillonnement créatif qui marquera la décennie de son empreinte. A l’origine de ce projet (une simple « mixtape commerciale »), Drake veut entretenir la flamme avant son prochain véritable album. Réunissant la crème des producteurs de Toronto (Frank Dukes, Wondagurl, 40, Boi-1da), le projet va devenir la quintessence d’un son froid et épuré, si caractéristique, construit sur des rythmiques sèches, des samples vocaux et des nappes de synthé. Certains pourraient y voir symboliquement la prise de pouvoir du style plus incisif de Boi-1da sur les sons plus atmosphériques de Noah Shebib, qui produira beaucoup moins par la suite, devenant une sorte du gardien du temple. Drake, lui, ne cherchera qu’à perpétuer la formule, en y instillant des grooves et des modes récupérés ici et là.

Par Benjamin Boyer

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Mr. Wonderful

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Action Bronson

Mr. Wonderful


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Premier album sorti en major, Mr Wonderful aurait pu trahir le personnage Action Bronson, ou le rendre plus lisse. Il n’en est rien. Mieux encore, le rouquin du Queens envoie valser les codes d’un premier album. « Let me get my voice right » rappe t-il sur l’introduction, interrompant le morceau pour se racler la gorge. Bronson est le seul maître à bord et fait déborder ses influences sur l’album, passant du coq à l’âne en toute décontraction, du funk psychédélique aux hymnes rock de stade, avec sa bonhomie habituelle. Prenant le risque de perdre une partie de ses premiers fans, le rappeur new-yorkais s’amuse à étirer les morceaux, chantonner, laisser l’instru jouer… Faire respirer sa musique, en bref, et l’amener vers une ambition sonore qu’on ne lui imaginait pas, entre samples et orchestration live. A déguster un verre à la main.

Par Benjamin Boyer

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Barter 6

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Young Thug

Barter 6


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C’est avec ce premier album commercialisé que Young Thug fera ses débuts dans le grand bain après une dizaine de mixtapes qui lui auront permis d’acquérir un buzz significatif qui va bien au-delà d’Atlanta. Si la polémique autour du nom de cet opus occupera une bonne partie des discussions (Carter 6 renommé finalement Barter 6), c’est bien le contenu global de ce projet qui est finalement à retenir. On retrouve cette signature vocale si singulière qui peut faire décoller un morceau au moment où on l’attend le moins. Thugger fait partie de ces artistes qui incarneront le mieux cette transformation qu’a connue le rap dans cette décennie, et cet album en est certainement le parfait exemple.

Par Thomas Trochaud

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By Dom Kennedy

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Dom Kennedy

By Dom Kennedy


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Loin de repousser les codes du rap californien comme ses voisins Kendrick Lamar, Tyler, The Creator et autres YG, Dom Kennedy se conforte dans la veine chill et délectable 100% West Coast. Son troisième album, toujours diffusé en total indépendance sur son label The Other Peoples Money Company, s’inscrit totalement dans cette mouvance laid back et le fait bien. Les productions toutes en rondeurs et aux mélodies infaillibles de cet opus expéditif d’un peu plus de 35 minutes sont essentiellement confiées à DJ Dahi, Jake One et J.LBS. Le gage de qualité derrières les consoles est donc ici assuré. Pur album de ride ensoleillé et enfumé, By Dom Kennedy est certes sans grande surprise mais diffuse une vibe que l’on ne retrouve nulle part ailleurs, en plus de nous servir la crème d’un rap local dont « On My Hometown/ Nobody Else » est l’hymne.

Par Simon Da Silva

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DS2

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Future

DS2


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« Tried to make me a pop star, and they made a monster », déclare Future dans « I Serve the Base ». Cette phase résonne comme la ligne directrice principale du projet DS2. En effet, après des tentatives d’incursions dans l’univers mainstream plutôt mal accueillies lors de la sortie de son sophomore album Honest, Future décide de revenir aux bases en 2015 avec une série de mixtapes impactantes puis ce DS2 qui fait écho, non par hasard, à sa tape de 2011 Dirty Sprite. Entourés par des Metro Boomin, Southside et Zaytoven qui le connaissent par coeur, Future se replonge dans ces ambiances sombres imbibées de codéine qu’il maitrise comme personne et livre un opus personnel, sur lequel Drake est le seul invité (« Where Ya At »), bien que DS2 se compose de 18 morceaux. Un LP qui remettra définitivement Future sur les bons rails pour tout le reste de la décennie.

Par Hugo Ferrandis

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Compton

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Dr. Dre

Compton


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On a longtemps attendu Detox, on a finalement eu le droit à Compton. Subitement inspiré par le biopic de N.W.A. Straight Outta Compton, Dr. Dre décide d’aller plus loin qu’une « simple » bande originale et livre un vrai album, dédié à sa ville natale. Comme à son habitude, le docteur a joué le rôle de chef d’orchestre pour réunir une équipe faite pour l’assister dans ses directions artistiques, que ce soit du côté des rappeurs (Kendrick Lamar, The Game, Anderson .Paak, Snoop Dogg…) ou des producteurs (Focus, DJ Premier, DJ Dahi…). Sans être légendaire comme un 2001, Compton reste de très bonne facture, avec des vrais choix opérés, ainsi qu’une couleur live et organique d’une richesse à souligner. Ce qui pourrait bien être le tout dernier LP de Dre ne viendra ainsi pas ternir son héritage, ce qui n’aurait peut-être pas été le cas de Detox, s’il on s’appuie sur les différentes tentatives de singles dévoilées par le passé.

Par Hugo Ferrandis

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90059

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Jay Rock

90059


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Que le temps fut long entre le premier album officiel Follow Me Home de Jay Rock et cette suite 90059. Plus de quatre ans auront été nécessaires au MC du Watts pour nous livrer un projet qui s’intégrera parfaitement dans l’univers TDE. La tracklist affiche un onze type séduisant où les titres “Necessary”, “Gumbo”, “Telegraph” et “Vice CIty” sont tout bonnement irrésistibles. Ce dernier morceau sera même la dernière apparition en date du quatuor Black Hippy sur un disque, collector donc ! Véritable pièce maîtresse de sa discographie, 90059 permettra par la suite à Jay Rock de sortir un projet comme Redemption, entre évolutions et fondamentaux.

Par Thomas Trochaud

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The Incredible True Story

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Logic

The Incredible True Story


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Jusqu’à la sortie de cet album, Logic s’était construit une solide réputation auprès du public underground avec sa série de mixtapes Young SinatraThe Incredible True Story va le faire entrer dans une nouvelle dimension. Cet album conte l’épopée fantastique de trois amis vers la planète Paradise, dans un monde post-apocalyptique. La douce candeur qui habite cet album lui confère une agréable légèreté, et les interludes sont intelligemment utilisées pour faire avancer l’histoire fluidement. Ayant lui-même participé grandement à sa production, Logic scalpe les morceaux de son flow précis et ciselé dans ce qui reste, encore aujourd’hui, son album le plus abouti.

Par Théo Hauquin

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