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ScHoolboy Q

Oxymoron


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Premier album du crew Black Hippy depuis la sortie de Good Kid, M.A.A.D City, ce projet tient sans doute la palme du contexte de réalisation le plus compétitif. Il était alors évident que les deux albums allaient subir des parallèles, Q allant jusqu’à douter de sa capacité à atteindre le niveau de K-Dot. Opéra rap moderne dans toute sa splendeur aussi récréatif que la drogue analgésique dont il porte le nom, cet album, à la différence de GKMC, a cette capacité de s’échapper de la distance narrative en utilisant la première personne, en étant habile dans sa façon de structurer les détails. Entouré de la fine fleur des producteurs rap (Pharrell, Tyler, The Creator, Mike Will Made It ou encore The Alchemist), Q signe avec ce troisième album aussi instinctif qu’intense un tournant remarqué dans sa carrière.

Par Elodie Sophie

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Ivry

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100s

Ivry


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100s n’est plus. Redevenu Kossisko, son nom au civil, le rappeur de Berkeley a sorti avec IVRY une sorte de fétiche éphémère, projet un peu fou où il se fantasme en pimp froid et cruel, permanente bien soignée, dans un croisement entre Rick James et Iceberg Slim. Remarqué par le morceau « Life of a Mack » sur la B.O de GTA V, 100s sort d’un premier EP où il s’était déjà imaginé en Snoop Dogg, reprenant à l’identique la pochette culte de Tha Doggfather. Toujours épaulé par Joe Wax à la production, ce deuxième EP offre un virage résolument funk, dans une ambiance qui sied parfaitement à l’arrogance du rappeur, invulnérable mac dégainant les pires horreurs comme un enfant qui voudrait qu’on le remarque. Il faut reconnaître au rappeur un talent certain pour rendre crédible son personnage, pourtant trahi à n’importe quelle seconde par ses traits juvéniles.

Par Benjamin Boyer

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My Krazy Life

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YG

My Krazy Life


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Ce projet est avant tout l’aboutissement musical d’une amitié entre YG et le beatmaker DJ Mustard. Pour son premier album officiel, le rappeur de Compton ne pouvait que faire appel à son acolyte de longue date, qui a véritablement explosé avec le hit “Rack City” de Tyga. My Krazy Life est guidé par une recette minimaliste qui fonctionne parfaitement bien avec à la clé une sortie qui répond à pas mal de critères commerciaux, tout en gardant une ligne directrice West Coast affirmée. De la Ratchet Music à la sauce « Mustard on the beat, ho! » (impliqué dans 8 des 12 morceaux), immortalisée par ce tube radio “My Nigga”.

Par Thomas Trochaud

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Because The Internet

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Childish Gambino

Because The Internet


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Fondateur, Because The Internet révèle au monde les talents de musicien du surdoué Donald Glover, sous un nom de scène choisi aléatoirement : Childish Gambino. Entre élans de violence et douceur absolue, ce disque emprunte sa trame narrative à la sci-fi et, sans surprise… à Internet. L’univers visuel et sonore s’émancipe des codes rap et offre une esthétique nouvelle. Racisme, mal-être et absurdité des relations à l’ère digitale y sont traités de manière détournée, sublimée par une vision de la musique et des capacités vocales hors normes. Les tenues du natif d’Atlanta marquent les esprits et prouvent déjà sa liberté de mouvement, sans manquer de rappeler un certain André 3000. Plusieurs leitmotivs, à commencer par la notion de cycles, parcourent les clips, tantôt rassurants, tantôt angoissants. L’acteur, le scénariste et le rappeur se donnent la réplique pour livrer à leur public une œuvre totale, à la frontière du rêve et du réel.

Par Florian Perraudin-Houssard

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Days Before Rodeo

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Travis Scott

Days Before Rodeo


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Avant de sortir son premier album officiel Rodeo, qui verra le jour un an plus tard, Travis Scott décide de faire monter la pression avec ce Days Before Rodeo. Un projet qui regroupe déjà tout ce qui fera de lui l’une des superstars incontestables de cette décennie. Il alterne subtilement entre parties rappées plus traditionnelles et chant noyé dans une reverb imposante, le tout sur une sélection de productions toujours entrainante. La collaboration “Don’t Play” avec Big Sean et The 1975 fera des ravages, tout comme les morceaux “Quintana Pt. 2” avec T.I. ou bien ces deux featuring de Young Thug sur “Mamacita” et “Skyfall”. Une grande réussite qui posera les bases pour la suite et installera un nouveau standard dans l’industrie.

Par Thomas Trochaud

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Run the Jewels 2

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Run the Jewels

Run the Jewels 2


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Killer Mike et El-P ont marqué la décennie en formant leur duo Run the Jewels. Après le succès du premier opus, ils reviennent en 2014 avec l’album très sobrement intitulé Run the Jewels 2. A l’image des morceaux tels que « Jeopardy » ou « Oh My Darling (Don’t Cry) », ce projet est plus nerveux, plus rythmé, plus peaufiné que son prédécesseur. Ce deuxième RTJ vient confirmer l’excellente alchimie entre les deux artistes. La recette demeure la même : un doux mélange d’humour, de gangsta rap et une touche de rap conscient. Run the Jewels a assurément été l’une des meilleures collaborations de cette décennie.

Par Sébastien Laurent

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If There's a Hell Below

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Black Milk

If There's a Hell Below


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« If there’s a hell below, we’re all going to go ». La formule mythique de Curtis Mayfield devient ici, sobrement, le titre de l’album. Une manière pour Black Milk de se ré-approprier le mythe Mayfield (l’esprit d’une époque, le sampling, la question sociétale) et de le laisser à distance. Le rappeur de Détroit a toujours été de ces artistes solo insaisissables : brillant producteur mais piètre rappeur selon le consensus. Il va pourtant creuser sa trajectoire dans une certaine révérence envers ses ainés, parfois encombrante (le fantôme de Dilla plane toujours), tout en composant ses nouveaux albums contre les précédents. Lorgnant définitivement vers l’organique, If There’s a Hell Below propose une synthèse des talents de son producteur, une traversée des époques, de la ghetto-tech de Détroit à l’esprit Tribe de « Story & Her », laissant respirer sa production bondissante entre les couplets d’un rappeur devenu définitivement crédible.

Par Benjamin Boyer

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PRhyme

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PRhyme

PRhyme


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Après avoir testé avec succès leur alchimie sur le tube « Boom », Royce Da 5’9’’ et DJ Premier se retrouvent à l’hiver 2014 pour former un vrai duo sous le nom PRhyme et sortir un premier album éponyme. Dans ce projet taillé pour les fans de Hip-Hop à l’ancienne, Preemo décide de s’ajouter une contrainte créative en ne piochant ses samples que dans le catalogue de son collègue Adrian Younge. C’est évidemment une réussite, et Royce ne se prive pas pour se régaler au micro, accompagné par de prestigieux invités tels que Jay Electronica, Common, ScHoolboy Q ou Ab-Soul. Le producteur et le rappeur se retrouveront quatre ans plus tard pour un PRhyme 2, toujours qualitatif mais légèrement moins inspiré.

Par Hugo Ferrandis

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Black Sheep Don't Grin

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Starlito

Black Sheep Don't Grin


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Passé relativement inaperçu lors de sa sortie, en décembre 2014, dénué de tout artifice, et relativement anachronique, Black Sheep Don’t Grin constitue le meilleur de ce que peut proposer un esprit tourmenté comme l’est celui de Starlito. Esthétiquement, il n’a rien de révolutionnaire. Instrus dépressives et lyrics pessimistes constituent le menu copieux de cet album. Comment peut-il en être autrement ? Ceux qui suivent la carrière du natif de Nashville le savent. Son existence, marquée par un spleen non feint de la vie de rue, et les drogues, n’est qu’un long chemin de croix. Un chemin seulement canalisé par son intacte soif de rapper, lui qui compte déjà une bonne cinquantaine de projets à son actif. Black Sheep Don’t Grin est un album parmi les plus denses de cette décennie.

Par Faycal Guerengomba

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