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En 2014, le pécheur J. Cole se repent avec 2014 Forest Hills Drive. Essentiellement auto-produit, l’album est traversé par le discours sans excuse d’un artiste libre, à la recherche du bonheur et décidé à avoir un impact positif. Amour, liberté, succès : des thèmes importants sont portés avec un point de vue unique par des singles forts. La forme est douce, le fond amer. Notamment lorsqu’il pointe du doigt les failles d’un show business destructeur et d’une société racialement divisée.
Perché sur le toit de sa maison d’enfance, le Nord-Carolinien se replonge dans le souvenir d’une époque révolue. Pensif, il retrace les étapes qui l’ont mené jusqu’à une notoriété à laquelle il n’adhère pas. Le storyteller altruiste conte son parcours dans la jungle d’Hollywood, peuplée d’êtres superficiels. « Don’t give ’em too much you / Don’t let ’em take control / It’s one thing you do / Don’t let ’em taint your soul » conseille-t-il avec sagesse sur « January 28th ».