Infographie : la weed et le rap américain
Le rap n’est pas la seule musique à prôner la libération des esprits par les substances illicites, mais les rappeurs sont sûrement ceux qui cachent le moins leur addiction à la weed. Instrument de provocation, accessoire de style, caution mauvais garçon ou simple moyen d’assouplir son flow, le blunt est présent au premier plan de la culture hip-hop, ce qui n’arrange pas, parfois, sa situation auprès des néophytes.
Défiant les époques, la consommation de marijuana reste une des activités favorites de nos amis les rappeurs, particulièrement outre-Atlantique, où les artistes n’hésitent pas à se mobiliser pour réclamer sa légalisation, quand ils ne déménagent pas vers des contrées aux législations plus clémentes… Aujourd’hui, le joint – ou plutôt le blunt, roulé dans une feuille plus épaisse que les OCB Slim de l’Hexagone – se passe toujours entre les générations de rappeurs. Si bien que les plus vieux tentent désormais d’en faire une source de revenus annexe, en proposant aux fumeurs de préserver leurs poumons en adoptant toutes sortes d’équipements alternatifs, des vapoteuses à weed aux graines miraculeuses…
En nous aidant d’un article Medium publié sur le sujet, The BackPackerz vous propose une infographie pour comprendre en un coup d’oeil la place prépondérante de la weed dans le rap américain : découvrez quels rappeurs l’évoquent le plus souvent dans leurs chansons et apprenez quelques-uns des petits surnoms qu’ils peuvent donner à la verte… Et n’oubliez pas de faire tourner…l’article !